Qui sont les candidat.es CFDT de l'Université Paris-Saclay ?

• José Picheral est un candidat CFDT de CentraleSupélec :

Notre objectif est de porter la voix des personnels pour participer à la construction d'une université qui se bâtisse à partir des besoins et de la vision des acteurs de terrain, pour une université qui ne soit pas déconnectée de la réalité et qui ait une utilité concrète

• Stéphanie Cardon est une candidate CFDT de l’université d’Évry :

 J'ai souhaité m'engager pour participer au projet Paris-Saclay, sans attendre qu'il se réalise tout seul. Je veux faire entendre la voix de mes collègues, des étudiant.e.s, continuer à proposer des actions de culture scientifique pour toutes et tous - sur notre territoire - pour dynamiser la vie de campus.

• Évelyne Contejean est une candidate CFDT de l’université Paris-Saclay – Faculté des sciences - CNRS :

Je suis candidate car je suis très attachée au fonctionnement facultaire, collégial et entre pairs du monde académique, quasi unique dans le monde du travail. Mon engagement (élue au CoNRS, au CA UPSud, au CA CoMUE Paris-Saclay) en est la suite logique. Je souhaite être dans le dialogue, vigilant et critique certes, mais pas dans l'obstruction systématique. Avec la disparition de Paris-Sud, l'université Paris-Saclay est ma nouvelle maison, je veux participer à sa construction.

• François Wicek est un candidat CFDT de la Faculté des sciences d’Orsay – CNRS : 

Je me suis syndiqué à la CFDT fin 2017 (et je n'étais pas syndiqué auparavant) car la CFDT a obtenu à cette époque des avancées, comme la mise en œuvre du RIFSEEP (régime indemnitaire), alors que la plupart des syndicats étaient contre. C'était aussi l'époque du "Hollande bashing", qui m'exaspérait quelque peu : à trop chercher le monde parfait, on n'obtient rien. Ceci dit, mon intérêt pour la CFDT ne date pas d'hier, puisque dans les années 80, je me précipitais chaque été sur le grand article d'Edmond Maire dans le journal Le Monde. J’ai été contacté par un militant et j'ai répondu présent, en priorité pour la commission de la formation et de la vie universitaire, car c'est un aspect concret et humain auquel je suis sensible.

Comment rendre l'Université Paris-Saclay accueillante, proche des besoins des étudiants et des agents malgré sa taille ? Comment résoudre les problèmes de logement, de transport ? Comment concilier ces besoins avec la nécessité de préserver aussi le caractère agricole du plateau de Saclay ? Est-ce que la seule finalité de l'Université est de figurer en tête du classement de Shanghai ? Comment faire cohabiter, sans casser ce qui fonctionne, université et grandes écoles ? Quelles sont les conséquences au quotidien d'un plateau de Saclay en chantier permanent ? Voilà un certain nombre de questions que je me pose et je pense que les élu.es CFDT apporteront des réponses sensées, pragmatiques et qui iront dans le sens d'un vrai progrès. Si je suis élu, j'accepterai cette mission et travaillerai à rendre cette commission utile et constructive.

• Pascale Le Gall est une candidate CFDT de CentraleSupélec :

Je suis candidate parce que la CFDT met en avant les valeurs d'émancipation, de démocratie et de solidarité, essentielles pour construire une Université Paris-Saclay bienveillante pour les personnels et accueillante pour les étudiant.es.

• Corentin Barbu est un candidat CFDT de l’INRAe :

 La culture de négociation de la CFDT est la raison pour laquelle je me suis engagé. Pas de politique de la chaise vide pour la fusion INRA-IRSTEA par exemple, même si c'était quand même une fusion à la hussarde…

• Jamila Anba-Mondoloni est une candidate CFDT de l’INRAe :

Je suis une militante CFDT depuis 25 ans, actuellement sur le centre INRAe de Jouy et affiliée à l'ED ABIES (et future Graduate schools). J'ai siégé au CA provisoire d'Agreenium et avant cela durant 2 mandats au CA d'INRA. Je porte beaucoup d'intérêts (positifs et négatifs) à la constitution de cette bombe qu'est l'UPSay, mais on verra…

• Dominique Desbois est un candidat CFDT de l’INRAe :

 Si j'ai candidaté sur la liste CFDT, c'est principalement pour que :

1/ le point de vue et les spécificités des personnels IATOSS puisse être défendus efficacement ;
2/ les positions élitistes et corporatistes soient combattues au sein de l'ESR et à l'UPS ;
3/ la valeur du doctorat en tant que diplôme professionnel soit mieux reconnue tant dans le public que le privé ;
4/ une conception ouverte et inclusive des institutions de recherche et d'enseignement supérieur soit promue, au plan européen notamment.
5/ soit donnée (grosse) pincée de développement durable (ODD) dans les cursus académiques et les projets de recherche (cf. le contre-exemple du labex BASC déclassifié...) et pour redonner un peu plus de pertinence à tout ce bétonnage du Plateau de Saclay.